Du bol !
L’autre soir, je me rendais au restaurant avec mon père, sa copine et mon frère. Arrivés à bon port, nous garons la voiture juste à côté de notre petite brasserie habituelle. Mon père a décidé de nous inviter donc je laisse mon sac sur la banquette arrière. Trois heures et demi plus tard, le ventre repu et rempli d’un bon steak-frites et d’une part de tarte au citron, nous décidons de rentrer gentiment à la maison. En arrivant à la voiture, les portes sont ouvertes (comprenez « pas fermées à clé ») ! « Oh, j’ai oublié de fermer la voiture », répond la copine de mon père. Et mon sac ? Et mon porte-monnaie ? Et mon natel ??? Je stresse et frôle la crise de nerfs. Dans mon sac, il y a ma vie ! Et bien en évidence sur le siège arrière. Après inspection approfondie, je m’aperçois que rien ne manque. Ouf, je respire. Mais force est de constater qu’on vit dans un monde fort honnête. Ou alors, j’ai un bol
de cocu. Oh zut alors…
Article publié dans le journal La Liberté (Fribourg, Suisse)
Commentaires
Enregistrer un commentaire